Présentation de Claire

Curieuse d’apprendre des choses nouvelles. De découvrir.

Littéraire depuis toujours et à jamais.

Artistique, parce que tous les arts sont beaux, passionnants, instructifs.

Insatisfaite, et mes critiques seront les premières à en pâtir.

Rêveuse ou Râleuse. Ces deux adjectifs sont ceux qui me correspondent le mieux.

Et sinon, je suis juste moi.

Claire TL

« Roméo et Juliette », d’Angelin Preljocaj

Vendredi 18 décembre, notre groupe de critique d’arts, accompagné des deux enseignantes, ont assisté à une représentation ballet de Roméo et Juliette à l’Opéra Royal de Versailles.

Une salle comble et magnifique nous attendait. Les murs étaient peints de fresques, de splendides lustres étaient suspendus. Un très beau décor. Néanmoins, je trouvais que la salle était mal orientée. En effet, nous étions assises, avec deux de mes camarades, au dernier étage, et, il y avait une colonnade qui gâchait le spectacle. Malheureusement, nous ne voyons pas tout.

Concernant le ballet d’Angelin Preljocaj, je dois avouer que je n’ai pas été fascinée. Ce fut la première fois que je voyais ce style de représentation, et je n’ai pas été conquise. Certes, les personnages dansaient vraiment bien, et je reconnais que j’ai essayé de me mettre dans la peau de Juliette, et de danser sur un rythme classique. Cependant, j’ai remarqué que les pas exécutés étaient répétitifs, ce qui amenait la chose à être ennuyante. Peut-être, n’ai-je pas compris le principe d’un ballet, mais,  je me mets à la place d’un anonyme n’ayant jamais lu l’oeuvre de Shakespeare, je me dis qu’il ne comprendrait pas le ballet de Preljocaj.

Toutefois, j’ai beaucoup apprécié le passage où le couple dansait tous les deux. J’ai trouvé qu’il y avait de la légèreté et nous pouvions voir qu’ils s’aimaient. Il y avait de la passion qui émanait de leur danse.

Le conseil que je pourrais donner, c’est qu’il faudrait lire l’oeuvre avant d’assister à une représentation.

Larissa

« Le Malade imaginaire » de Michel Didym

Le jeudi 12 novembre à 20h00, les élèves du Ferryscope ont été au théâtre Montansier de Versailles pour voir la représentation de Michel Didym : Le Malade Imaginaire.

Ce soir-là, une salle remplie de monde était venue admirer la folie et l’imagination débordante de notre cher personnage principal : Argan, un homme hypocondriaque ayant besoin de lavements assez régulièrement.

Tout au long de cette pièce, des rires parcouraient la salle. Le personnage le plus sympathique était la servante : Toinette, une femme assez arrogante mais répondant de manière subtile à son maître, Argan. Tous deux sont comme chien et chat, à s’envoyer des piques et cela fut très amusant.

Il y eut une « standing ovation » de la part des spectateurs à l’encontre de la petite fille qui jouait le rôle de Louison. Une adorable actrice, qui a surprise tout le monde tant à sa maîtrise et sa capacité à rester sérieuse face à l’hilarité générale du public. Car oui, en effet, il y eut des scènes comiques. Comique de gestes avec Thomas Diafoirus, comique de situation avec Argan se croyant malade et des scènes musicales où tout le monde dansait sur un style oriental.

Le fait que Michel Didym ait intégré des scènes musicales, conformément au genre de la comédie-ballet, où les acteurs chantent et dansent, a rendu la pièce plus agréable.

C’est une pièce assez sympathique que je conseille aux passionnés de théâtre.

Larissa

Le malade imaginaire à Montansier par Isaure

Le jeudi 12 novembre, une représentation du  Malade imaginaire a été donnée au théâtre Montansier à 20h30. La mise en scène était de Michel Didym. Comme nous le savons tous, le Malade imaginaire est une pièce de Molière datant de 1673 racontant l’histoire d’Argan, un hypocondriaque qui veut marier sa fille à un médecin pour ne plus payer ces supposés frais médicaux.

La mise en scène est  originale,  moderne et dynamique malgré  un début  un peu long. Les personnages principaux sont Argan, Angélique la  fille aînée, Louison la cadette, Thomas Diafoirus, Cléante et Toinette.

A mon sens le personnage de Toinette est  charismatique avec une certaine arrogance et impertinence  qui donnent une touche d’ironie dans la pièce. Les décors simples et modernes mis en opposition  avec les costumes traditionnels offrent un contraste rafraîchissant et surprenant. Nous avons eu le plaisir d’admirer le jeu d’une toute jeune comédienne dans le rôle de Louison. J’ai beaucoup apprécié cette représentation et j’espère en voir d’autres de ce metteur en scène.

 

 

 

Présentation Valentin

Je m’appelle Valentin, 17 ans et c’est ma première année au Ferryscope ! Je suis élève  en terminale scientifique Sciences de l’ingénieur, alors oui, un élève de terminale S dans un groupe de critique d’Arts cela paraît un peu bizarre  mais il faut savoir que l’une de mes passions est le spectacle vivant.  Je suis passionné de Théâtre depuis environ 10 ans et j’envisage de poursuivre mes études dans ce domaine. Voilà pourquoi je fais désormais partie du Ferryscope. L’art est pour moi une façon de transmettre des émotions diverses mais aussi de faire passer des visions du monde que jamais  nous aurions pu imaginer. J’espère donc pouvoir vous faire part des différentes visions que certaines œuvres m’auront apporté et vous transmettre ma passion pour le spectacle vivant et pour d’autres arts.

A bientôt !

Valentin_montage